Le nouveau groupe d’indie rock Tea Eater annonce la sortie de son premier album studio, Obsession, pour le 6 octobre. Découvrez ainsi le titre « Double », dans lequel la tête pensante Tarra Thiessen ne manque pas d’exposer son timbre vocale et sa volonté DIY.
The Sherlocks – Remember All The Girls
Ce vendredi 11 août est sorti People Like Me & You, le nouvel album du groupe britannique The Sherlocks. On y retrouve notamment le single « Remember All The Girls », dans lequel le groupe met en avant ses influences alternatives sans oublier son goût pour la finesse et la simplicité.
Public Image Ltd. – Car Chase
Connu pour avoir participé aux grandes heures de Sex Pistols, John Lydon s’est aussi illustré avec Public Image Ltd. Ce dernier groupe est de retour avec l’album End of the World, sorti ce vendredi 11 août. Retrouvez-y l’effréné « Car Chase », dont le clip est disponible.
Blindstone – Drums Of War
Trio danois pratiquant un bon heavy blues rock des familles, Blindstone a sorti ce vendredi 11 août son nouvel album intitulé Scars To Remember. On y retrouve notamment Drums of War, au riff terriblement accrocheur.
Rachel Bochner – Hard To Please
L’artiste pop rock Rachel Bochner vient de sortir l’EP It’s Not Me, It’s U. Combinant riffs lancinants et voix caractéristique, la musicienne y inclus notamment le single Hard To Please, qui représente la ligne artistique de sa nouvelle sortie.
Alors que le nouvel album de Depeche Mode Spirit caracole en tête de tous les charts européens, Rolling Stone est allé à la rencontre du trio de Basildon lors de leur passage à Paris, le 20 mars dernier. Après l’interview de Dave Gahandans le dernier numéro du magazine, nous avons passé un moment privilégié avec Andy Fletcher et Martin Gore pour parler de l’album, de leur vision du monde actuel et bien sûr de musique !
8 juillet 1961 : Naissance d’Andy Fletcher de Depeche Mode
QUESTIONS A MARTIN L. GORE
L’artiste qui a eu une influence majeure dans ma vie a été David Bowie.
Quels artistes t’ont inspirés dans la vie?
Je pense que l’artiste qui a eu une influence majeure dans ma vie a été David Bowie.
Comment préserves-tu et nourris-tu ta créativité?
Je pense que c’est une bonne chose de travailler sur un cycle de quatre ans car nous n’avons pas de pression constante pour écrire de nouvelles chansons. Dans les années 80, on sortait un album par an. On ne pourrait plus le faire maintenant tout en gardant notre intégrité. Alors ce cycle de quatre ans a l’air de bien fonctionner. Je crois pense que l’état du monde à l’heure actuelle m’a beaucoup aidé à écrire de nouvelles chansons. Il y a tellement d’inspiration là dehors.
Les élections américaines durent très longtemps. C’est toujours un grand cirque, un fiasco, et ça empire à chaque fois.
Tu as écrit les chansons les plus sombres de l’album en 2015. Y a t’il un événement en particulier qui a inspiré des chansons comme Going Backwards ou Scum?
Je crois que c’est une accumulation de choses. Il y a eu tellement d’événements. La crise syrienne a été une des pires crises humanitaires qu’on ait vues. Aux Etats-Unis, on a aussi eu l’impression que les droits de l’homme reculaient, comme si on remontait dans le temps, avec toutes ces histoires de policiers qui abattaient des blacks. Et en plus, de nos jours, ces événements sont enregistrés et malgré tout c’était comme si ces policiers ne faisaient rien de mal alors il y a eu beaucoup d’indignation en Amérique. Les élections américainesdurent très longtemps. C’est toujours un grand cirque, un fiasco, et ça empire à chaque fois. Vers la fin 2015, on était déjà en plein dedans.
Tu as écrit des chansons plus optimistes en 2016, comme Eternal ou So much love. Comment peux-tu expliquer ce changement d’état d’esprit?
Si on peut dire qu’Eternal est une chanson optimiste ou joyeuse c’est forcément par rapport aux autres chansons. Elle parle quand même d’un grand champignon noir et de radiations nucléaires. Je suis papa d’une petite fille depuis 1 an et cette chanson a été écrite pour elle. Mais, en regardant le monde plus tristement, ce qui pourrait arriver et en ce moment, le monde est terrifiant, avec Trump au pouvoir… et la situation en Corée du Nord.. Qui sait ce qu’il va se passer.
Peu importe ce qu’on pourrait me faire, il y aura toujours beaucoup d’amour en moi.
Penses-tu qu’on est ‘foutus”? (Comme dans la chanson Fail)
Oui, en ce moment, c’est ce que je ressens. Mais, la dernière chanson que j’ai écrite pour l’album est So much love car j’ai senti que je devais écrire quelque chose de positif. Je devais dire que malgré tout ce qu’il se passe, peu importe ce qu’on pourrait me faire, il y aura toujours beaucoup d’amour en moi.
Penses-tu qu’on ait besoin d’une révolution?
Je pense qu’il faut du changement. Le système américain n’est pas bon. Les lobbys. Il y a forcément du y avoir un moment dans notre histoire où ces lobbys ont du faire de bonnes choses pour le peuple mais ce n’est plus du tout le cas à présent. Ils contrôlent tellement de choses. On doit s’en débarrasser d’une façon ou d’une autre.
QUESTIONS A ANDREW FLETCHER
Quel effet cela fait de refaire une tournée?
On est enthousiastes. On travaille sur un cycle de quatre ans où on passe du temps en famille, puis on enregistre un album, puis on repart en tournée. Ce n’est pas comme si on était tout le temps sur les routes. Alors, on attend cela avec impatience.
Quel rôle as-tu joué dans la création de cet album?
En studio, on a travaillé en équipe : le groupe, le producteur James Ford et un mec qui s’appelle Matrixxman. C’est vraiment un travail d’équipe et le but est de tirer le meilleur de nos chansons.
On dit souvent de toi que tu es ‘l’arbitre’ dans le groupe. C’est difficile d’être au milieu de Martin et Dave?
Cela n’a jamais vraiment fonctionné comme cela. La plupart du temps, on tombe tous d’accord. On a une règle d’or : si l’un d’entre nous est vraiment contre quelque chose, alors on va suivre son avis. Parfois c’est moi et Dave qui sommes d’accord parfois Dave et Martin et moi non… c’est vraiment un travail d’équipe.
Martin, et à présent Dave, écrivent régulièrement de très très bonnes chansons.
Quel est le secret de longévité du groupe?
Je pense que l’écriture de chansons est l’une des choses les plus importantes. Martin, et à présent Dave, écrivent régulièrement de très très bonnes chansons. Je pense que c’est l’un de nos secrets.
Te sens-tu concerné par l’état actuel du monde?
Oui. C’est intéressant car je suis le seul qui vit encore à Londres. Martin et Dave vivent aux Etats-Unis alors ils se sentent plus concernés par la politique américaine. J’étais aux Etats-Unis pour enregistrer l’album l’an dernier et j’étais plongé alors dans les événements là -bas… puis bien sûr il y a eu le Brexit.
Es-tu inquiet par rapport au Brexit?
Oui, on l’est tous. Tout le groupe pense que c’est terrible. Je crois que pour un changement constitutionnel majeur, cela aurait du être un vote à 60/40 ou 70/30 et pas un vote à 50/50 car en gros il y a 50% des gens qui ont votés pour et 50% contre. Je suis de Londres et la ville a voté massivement pour rester.
Dave était un rebelle. Nous, on était les gentils garçons.
Dave a dit récemment que vous étiez trois ‘rebelles’ de l’Essex. Que reste t’il d’eux 35 ans plus tard?
Dave était un rebelle. Nous, on était les gentils garçons.
La Chambre de commerce d’Hollywood a annoncé que Miley Cyrus obtiendrait son étoile sur le célèbre Hollywood Walk of Fame.
La Chambre de commerce d’Hollywood a annoncé que Miley Cyrus obtiendrait une étoile sur le Hollywood Walk of Fame. La chanteuse n’aurait pas pu rêver moment plus approprié, elle qui vient de sortir son neuvième album solo,Something Beautiful, qui comprend le titre « Walk of Fame ».
En réponse à l’annonce, Miley Cyrus a publié un message sur les réseaux sociaux, partageant un souvenir de son père, Billy Ray Cyrus : « C’est un honneur de recevoir une étoile sur le Hollywood Walk of Fame. Lorsque, petite fille, je suis venue de Nashville à Los Angeles, ma famille logeait dans un hôtel sur Hollywood Blvd, et je me promenais tard dans la nuit avec mon père, quand personne ne le reconnaissait. Nous avions les boutiques de souvenirs pour nous seuls et nous achetions des Oscars en toc et des produits dérivés de Marilyn Monroe. »
« Le fait d’être aujourd’hui cimentée sur ce boulevard légendaire, entouré des icônes qui m’ont inspirée, ressemble à un rêve, a-t-elle poursuivi. Ce moment restera à jamais gravé dans ma mémoire, merci à tous ceux qui l’ont rendu possible. Je suis reconnaissante de partager cette étoile avec vous. »
Cyrus a accompagné son message d’un extrait de « Walk of Fame ». La chanson est un duo avec Brittany Howard, et le clip du morceau est tourné sur le célèbre trottoir de Los Angeles.
Une critique de Rolling Stone sur son nouvel album a fait l’éloge de ce projet ambitieux. « Tout au long de l’album, Miley chante qu’elle doit garder la tête haute et voir le bon côté des choses, même dans les moments difficiles, a écrit Rob Sheffield. Something Beautiful est un nouveau virage audacieux dans l’une des carrières les plus délicieusement imprévisibles de la pop. »
Dia Dipasupil / Getty Images for The Rock and Roll Hall of Fame
Tous les grands noms du heavy metal se sont retrouvés à Birmingham pour le dernier concert d’Ozzy Osbourne et Black Sabbath.
« Que la folie commence ! », a hurlé Ozzy Osbourne du haut de son trône orné de chauves-souris et de crânes. Face à lui, le Villa Park de Birmingham, en Angleterre, qui affichait complet. Le Prince des Ténèbres était enfin monté sur scène, après toute une série d’hommages de la part de groupes de métal légendaires lors du concert Back to the Beginning, le samedi 5 juillet.
Birmingham vit au rythme de Black Sabbath depuis des semaines. La ville, fière d’être le berceau du heavy metal, a sorti le grand jeu pour le retour de ses fils les plus célèbres. Dans les pubs, sur les murs, les T-shirts… le groupe était partout. Pour les fans de métal venus des quatre coins de la planète, c’était une ambiance de finale de Coupe du monde.
Cette atmosphère de carnaval vous sautait aux yeux dès l’arrivée à la station New Street, où les fans étaient massés autour de la peinture du Black Sabbath Bridge, qu’Osbourne et le groupe n’avaient pas manqué d’autographier quelques jours plus tôt. Nous avons rencontré un fan londonien qui nous a raconté qu’il était en pèlerinage avant l’ouverture des portes. « Je fais le tour de la ville pour visiter tous les sites, comme The Crown, où ils ont donné leur tout premier concert, les diverses expositions et Ozzy the Bull ! »
Puis est venu le moment de se rendre à Villa Park, le terrain de football historique situé dans la banlieue ouvrière où vivaient autrefois les quatre membres du groupe. Dès notre arrivée, nous avons été accueillis par des grondements de distorsion et un Ozzy gonflable géant qui veillait sur ses fidèles.
Tous les géants du heavy metal qui sont montés sur scène tout au long de la journée débordaient d’admiration pour Black Sabbath, peut-être parce que le groupe a façonné et influencé chacun d’entre eux, depuis Mastadon qui a ouvert le bal jusqu’aux vétérans du thrash Anthrax et Lamb of God. Ces dernier se sont d’ailleurs illustrés dès le début avec une reprise de « Children of the Grave », dont ils ont par la suite publié une version studio :
L’affiche impressionnante de la soirée ne laissait pas beaucoup de place aux surprises. Et pourtant, Yungblud a rejoint le premier supergroupe de la journée pour une reprise de « Changes ». Il a dédié la chanson à Diogo Jota, l’attaquant de Liverpool décédé dans un accident de voiture.
L’émotion palpable n’a pas empêché le ridicule de s’exprimer : Travis Barker de Blink-182, Chad Smith de Red Hot Chili Pepper et Danny Carey de Tool se sont livrés à un concours de batterie aux côtés de Tom Morello de Rage Against the Machine. C’était avant que Billy Corgan et le guitariste de Judas Priest, KK Downing, n’entrent en scène et n’interprètent « Breaking the Law ».
La fête a continué avec d’autres légendes, dont Alice in Chains, Gojira, Pantera et Tool, qui se sont succédé pendant 30 minutes. Alors que le soleil baissait vers l’horizon, Slayer est monté sur scène et a fait se déchainer le public avec des épopées qui ont défini un genre, comme « Reign in Blood » et « Angel of Death ».
Guns N’ Roses a entamé la dernière ligne droite, avant Metallica, Osbourne et Sabbath. Les Guns jouaient dans cette même salle la semaine précédente, et ils étaient clairement au septième ciel en reprenant « Sabbath Bloody Sabbath » avant l’intro de guitare emblématique de « Welcome to the Jungle ».
Ensuite, c’est James Hetfield de Metallica qui a pris la parole face aux milliers de personnes qui se trouvaient devant lui. « Sans Sabbath, il n’y aurait pas de Metallica, merci les gars de nous avoir donné un but dans la vie », a-t-il déclaré avant de se lancer dans une série de classique couvrant l’ensemble de la carrière du groupe.
Puis, enfin, après une avalanche de photos d’archives, Ozzy Osbourne est monté sur scène. « C’est tellement bon d’être sur cette putain de scène, vous n’en avez pas idée. Est-ce que vous avez passé une bonne journée aujourd’hui ? ». C’est alors qu’a retenti l’intro à l’orgue de « Mr Crowley ».
Osbourne tremblait d’émotion en chantant la ballade « Mama I’m Coming Home », qui avait plus de sens que jamais, puisqu’il était de retour là où tout a commencé il y a plus de 50 ans.
Après une interprétation tonitruante de « Crazy Train », il est parti, puis est revenu pour un set condensé avec Black Sabbath, qui a lancé les hostilités avec « War Pigs ». Ozzy Osbourne avait beau être confiné à son trône, il était comme possédé, invoquant tout la frénésie encore en lui pour terminer avec « Iron Man » et « Paranoid ».
Malgré tous les faux adieux de sa carrière, il y avait quelque chose de définitif dans cette dernière chanson, qui a ajouté un caractère très poignant à la soirée.
La grande tragédie, c’est que de telles légendes meurent souvent avant que des célébrations de ce niveau puissent avoir lieu, mais par un grand miracle ou une intervention divine, Ozzy Osbourne était là pour tirer sa révérence avec les siens.
Ne manquez pas le groupe électrisant Dynamite Shakers lors de leur passage au festival Au Pont du Rock, le vendredi 1er août à Malestroit.
Les organisateurs du festival Au Pont du Rock vous donnent rendez-vous les 1er et 2 août à Malestroit. Les places sont disponibles. Avant cela, retour sur le jeune groupe Dynamite Shakers, qui fait partie de la sélection Future of Music 2025 de la rédaction.
Faire l’unanimité et frôler le rappel quand on est convié à chauffer une salle aussi éloignée du club convivial que peut l’être La Défense Arena n’est pas offert à tout le monde. On l’aura compris, ce petit défi, le quatuor vendéen l’aura aisément relevé en novembre dernier en “première première partie” d’un Sum 41 tirant sa révérence pour l’occasion. Une forme de passage de témoin, quand bien même les deux formations n’ont pas grand-chose en commun ?
C’est tout le mal que l’on souhaite à Dynamite Shakers, déboulant ce soir-là l’énergie gonflée aussi fort que les voiles des bateaux du Globe Challenge quittant le chenal des Sables-d’Olonne. Délicieusement emmitouflé dans son rock vintage mais sans s’y noyer non plus, Don’t Be Boring se nomme le premier album, sorti au printemps 2024. Aucun risque de ce côté-là, tant Elouan (Davy, guitare et chant), Calvin (Tulet, tout pareil !), Lila-Rose (Attard, basse, et chant), et François (Rocheteau, batterie) savent aller à l’essentiel. La suite maintenant. Et que ça saute !
Cette édition de luxe fête les 30 ans de l’album phare d’Oasis avec notamment de nouvelles versions dépouillées de cinq titres de l’album.
Oasis a annoncé une édition de luxe pour le 30e anniversaire de l’album phare du groupe, (What’s The Story) Morning Glory? Cette édition, qui sortira le 3 octobre, comprendra cinq versions nouvellement enregistrées de titres classiques, dont « Acquiesce », qui a été dévoilé aujourd’hui.
L’édition du 30e anniversaire sera disponible en 2 CD, 3 vinyles et en format numérique. En plus de la version remastérisée de l’album de 2014, les fans auront droit à des versions dépouillées de « Cast No Shadow », « Morning Glory », « Wonderwall », « Acquiesce » et « Champagne Supernova », qui ont été produites et mixées par Noel Gallagher et Callum Marinho au studio Lone Star Sound de Noel, à Londres. La réédition comporte également une nouvelle pochette réalisée par Brian Cannon, le concepteur de la pochette originale du disque, ainsi que de nouveaux textes.
L’édition anniversaire de (What’s The Story) Morning Glory? sera disponible dans plusieurs formats de vinyles colorés exclusifs, notamment le cristal clair inspiré de « Cast No Shadow », exclusif aux disquaires indépendants, le bleu marbré inspiré de « Morning Glory » chez HMV, le marbré sépia inspiré de « Wonderwall », exclusif à Amazon, et le orange fluo inspiré de « Acquiesce », exclusif à la boutique officielle. Tous les formats incluront la version remastérisée de l’album de 2014 ainsi que les nouvelles versions bonus.
Les fans peuvent d’ores et déjà précommander toutes les versions de l’album via la boutique en ligne d’Oasis.
(What’s The Story) Morning Glory ? est sorti en octobre 1995. Il s’est vendu à plus de 22 millions d’exemplaires dans le monde et a valu à Oasis son premier BRIT Award du meilleur album britannique. À ce jour, il est le troisième album studio le plus vendu de tous les temps au Royaume-Uni. Dans sa critique, Rolling Stone a écrit que l’album était « plus qu’une progression naturelle ; c’est un bond en avant audacieux qui témoigne d’une croissance musicale et personnelle significative, sans parler d’une familiarité bien plus grande avec le catalogue des Fab Four ».
La tournée de reformation d’Oasis débutera le 4 juillet à Cardiff, au Pays de Galles. La tournée réunit les frères Liam et Noel Gallagher après des années de brouille et a donné lieu à des spéculations quant à la possibilité de voir le groupe se reformer pour de bon après les concerts. La tournée comprend 41 dates au Royaume-Uni, en Irlande, en Amérique du Nord, en Asie, en Australie et en Amérique du Sud.
Oasis a fait équipe avec le scénariste de Peaky Blinders Steven Knight et les réalisateurs Dylan Southern et Will Lovelace pour un film sur la tournée.